Sunday, November 27, 2011

La vie et le travaille de Marcel Proust


            Marcel Proust est né le dix septembre, mille huit cent soixante onze à Achille Adrien Proust et Jeanne Clémence Weil.  Achille était pathologiste et épidémiologiste, et Jeanne est devenue d’une famille juif et riche d’Alsace.  À l’âge de neuf ans, Proust a eu sa première attaque d’asthme ; De ce temps, on pensait que Proust était un enfant malade.  Lorsque Proust avait onze ans, il est devenu élevé au Lycée Condorcet.  Même avec sa maladie, Proust a bien réussi avec la littérature : Il a gagné un prix de littérature durant son dernier an comme élevé. 

            Plus tard, Proust était soldat pendant un an, même avec son asthme, dans l’Armée française.  Il est passé son an aux casernes à Coligny.  Après avoir été soldat, Proust a essayé d’écrire.   Mais Proust avait une réputation d’un snob et c’était difficile pour lui de trouver un publier pour son premier roman à cause de sa réputation.  Lorsque Proust écrivait, son père insistait qu’il trouve une carrière ; alors Proust a obtenu une position volontiers à une bibliothèque en mille huit cent quatre vingt seize.  Mais, avant qu’il ait commencé de travailler, Proust a aussi obtenu un congé de maladie qui a duré des ans jusqu’à Proust a été considéré de résigner. 

            Aussi, Proust était un secret homosexuel, mais tout le monde le savait.  Il était un des premiers écrivains européen d’écrire d’homosexualité dans son roman, À la recherche du temps perdu.

            La vie de Marcel Proust a beaucoup changé entre mille neuf cent trois et mille neuf cent cinq.  Son frère Robert a marié en mille neuf cent trois et a déménagé de la maison famille ; pendant le même an, le père de Proust, Achille Adrien Proust, est mort.  Deux ans plus tard, en mille neuf cent cinq, Jeanne Clémence Weil, la mère de Proust, est morte aussi. 
            Proust a commencé de s’intéresser d’écrire, de publier et de la littérature à un jeune âge.  Quand il était encore étudiant, Proust a été impliqué aux magazines littéraire La Revue verte et La Revue lilas.  Au même temps, il a régulièrement publié un article sur la société dans le journal Le Mensuel.  En mille huit cent quatre vingt douze, il a aidé d’établir La Banquet, une revue littéraire.  (La Banquet est aussi le titre d’un roman de Platon qui s’appelle Symposium en anglais.)  Pendant les prochains quelques ans, Proust a fréquemment publié dans La Banquet et dans La Revue Blanche, une revue célèbre.
            En mille huit cent quatre vingt seize, Proust a publié Les Plaisirs et les Jours, une collection des petits articles que Proust a déjà publié aux magazines et aux revues.  Aussi dans la collection était des dessins et un avant-propos.  La collection était si bien préparé qu’il coutait deux fois plus cher que d’autre romans de la même taille. 
            Aussi en mille huit cent quatre vingt seize, Marcel Proust a commencé son deuxième roman, Jean Santeuil.  Des thèmes qui se trouvent dans Jean Santeuil sont aussi dans un autre roman de Proust, À la recherche du temps perdu, mais plus développé.  Mais, à cause du échec de Les Plaisirs et les Jours et de la incapacité de Proust de décomposer l’intrigue, Proust a commencé d’abandonner Jean Santeuil en mille huit cent quatre vingt sept et il a complètement abandonné le roman par mille huit cent quatre vingt dix-neuf. 

            Dix ans après avoir abandonné Jean Santeuil, Marcel Proust a commencé d’écrire son chef d’œuvre, À la recherche du temps perdu, en mille neuf cent neuf.  Il y a sept volumes et trois milles deux cent pages dans le roman.  Mais, malheureusement, Marcel Proust est mort avant qu’il ait fini d’éditer les trois derniers volumes de son roman ; ils aient été édités par le frère de Marcel, Robert Proust et ils aient été publiés des ans après sa mort.  À cause de À la recherche du temps perdu, Marcel Proust a été appelé ‘le meilleur écrivain de la vingtième siècle’ par des gens.  Le chef d’œuvre a été traduit en anglais entre mille neuf cent vingt deux et mille neuf cent trente-et-un sous le titre In Search of Lost Time.




Saturday, November 5, 2011

Copie Conforme Critique




            La fin de la semaine dernière, j’ai vu le film Copie Conforme au Stackhouse.  C’était un peu étrange au début ; le première scène a duré pendant quelques minutes et moi, je n’avais aucune idée ce qui se passait.  Une femme et son fils sont entrés dans une salle où un homme est en train de donner une lecture.  La femme approche l’homme et s’assit devant lui dans la première chaise dans la première ligne des chaises.  Son fils approche avec elle, mais il la laisse et joue son Nintendo dans un coin de la salle.  Quelques minutes plus tard, on voit que le garçon dit quelque chose très doux à sa mère, mais on ne sait pas ce qu’il a dit.  Le garçon a hâte de partir et le garçon et sa mère quittent la salle et vont au restaurant pour manger un hamburger. Selon ma mère, elle pensait que dans la salle, le garçon a demandé en italien si l’homme était son père ; la mère a rependu sans mots que oui, l’homme est son père. 
            A mon avis, je ne pense pas que l’homme est le père du garçon ; aussi, je ne pense pas que l’homme et la femme se sont rencontrés avant que le film ait commencé.  Les deux font semblant qu’ils sont un couple mais je pense que c’est juste pour s’amuser.
            Dans tous cas, le film est mystérieux.
            Ce que j’aime bien du film, c’est le paysage où le film a été fait.  C’était filmé en Italie et après avoir vu le film, je voudrais y vivre bientôt.  Non, maintenant.  Les collines roulent lentement jusqu'à les yeux peuvent voir et les villes sont parfaitement petites et vieux.  La vie italienne a l’air d’être tranquille et sans les difficultés de la vie normale. 
            Quelque fois en regardant le film, j’ai oublié que je n’étais pas en Italie, que j’étais à Lexington.  Les acteurs étaient merveilleux !

Des sentiments n’ont jamais disparu, même après la fin du film.  Ce film n’est pas pour tout le monde ; c’est lent et artistique.  Quelque fois, je voulais dormir.  Ou jouer au ping-pong.  N’importe quoi, vraiment ; je voulais faire quelque chose d’autre que regarder le film.  À la fin du film, l’audience est laissé avec une question fondamental du film ; c’est quoi le rapport entre la fille, l’homme et le garçon ?  Est-ce qu’ils sont venu de rencontrer l’un et l’autre ?  Ou est-ce que l’homme est le père du garçon et ses parents se sont rencontrés il y a quinze ans ?  Moi, je pensais que ils viennent de se rencontrer mais ma mère, qui était avec moi, pensait qu’ils étaient ensemble avant le commencement du film.  Vraiment, on ne sait pas ; c’est un peu comme le film américain Inception.  Mais, une chose que l’on sait, c’est que le film est bizarre, énervée et intéressant.  Trois et demie étoiles sur cinq étoiles.